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C’est reparti ! “Ils Font le Sud“ attaque sa troisième saison sur l’antenne d’LCM. Je me régale à faire cette émission qui reçoit des gens aussi divers que des comédiennes, des hommes et femmes politiques, des architectes, des anonymes et des personnalités connues.
3 émissions sont dans la boîte et j’ai eu beaucoup de plaisir à retrouver lundi mes amis techniciens d’LCM. Dès vendredi, vous verrez Arnauld Lutin, le Président du CJD Marseille, la semaine prochaine, ce sera le tour d’Alain Poirier, l’architecte qui veut reconstruire le Pont Transbordeur sur le Vieux Port, puis ce sera ensuite le tour de Jean Coulomb, président de la chambre des notaires, Magali Blanchard, commandant des Marins Pompiers etc. Que du beau monde !
Ça commence vendredi à 20h15 !

488911573Il m’est arrivé une petite histoire dont je ne suis pas fier mais qui me permet, en vous la déposant dans vos boîtes mails, de prendre un peu de recul et de mesurer ainsi la bêtise insondable qui peut être la mienne (et que je partage allègrement avec la gente masculine dans son immense majorité).
L’autre soir, je cherchais une paire de ciseau pour découper une feuille de papier d’aluminium dans laquelle j’avais prévu de cuire à l’étouffé un méli-mélo de pommes de terre, girolles et foie gras frais. Je glisse ce détail culinaire au passage afin de corriger l’image peu valorisante d’un homme ne sachant cuisiner rien d’autre que la raclette ou les rôtis de bœuf. Je cherchais donc les cisailles dont j’avais besoin pour entreprendre ma recette et j’ouvrai d’un geste assuré et volontaire le tiroir de la cuisine dans lequel l’objet contondant a sa place depuis la nuit des temps (enfin j’exagère un peu et ma notion du temps ne vaut pas celle d’un horloger suisse, mais disons que cela faisait bien 6 ans que cette paire de ciseau avait fait son nid dans le compartiment mobile situé sous mes plaques à induction).
Une fois ce dernier offert à ma vue, largement éclairé par la lumière cru des spots allogène intégrés à ma hotte aspirante de facture italienne, je dus me rendre à l’évidence : l’ustensile d’acier aiguisé en biseau que je désirais ne s’y trouvait pas. La première idée qui me vint en tête avant de la laisser s’exprimer à voix haute fut : “qui c’est qui a ENCORE pris les ciseaux sans les ranger !?“ Il faut que vous sachiez que, disposant d’une mémoire équivalente à celle d’un micro-ordinateur familial des années 80, je règle ma vie comme du papier à musique. Tous les objets de mon quotidien occupe une place bien déterminée : clefs, téléphone, télécommande, casque, lunettes… ciseau… tout a une place précise afin que je puisse rapidement mettre la main dessus. Certains appelleront cela “maniaquerie“ mais je préfère parler de moyen de survie. Les habitués de ce blog n’auront pas manqué de remarquer que ce trouble comportemental compulsif ne m’a pas empêché de perdre 2 ordinateurs en 2 mois… Je leur répondrai ceci : “imaginez ce que serait ma vie si je n’essayais pas de l’organiser !“
Bref. Revenons-en à nos ciseaux. Je commençais à maugréer et à accuser intérieurement la seule personne coupable à mes yeux : ma compagne, mon exact opposé. En effet, Laetitia est aussi organisée qu’une chambre d’adolescent pré-pubère et je ne voyais qu’elle comme responsable de ce forfait, que dis-je, de ce crime odieux. Je la maudissais entre mes dents serrées, regrettant déjà ma vie de célibataire où chaque chose avait la place que JE leur avais donné. Ce ne pouvait être qu’elle, j’en étais sûr. “Calme toi Jeff ! Elle ne connait pas encore ton côté psycho-rigide que tu as réussi à lui camoufler depuis le début de votre histoire : ne vas pas tout gâcher maintenant en lui cherchant querelle ! Tu en achèteras d’autre que tu cacheras dans un endroit connu de toi seul !“  Je réussis à articuler d’une voix contenant difficilement un torrent de haine  “personne n’aurait vu les ciseaux qui étaient dans CE tiroir ?“ mais personne ne prit la peine de me répondre. La coupable désignée préférant se draper dans le silence que d’affronter mon juste courroux. Son mutisme était un aveu.
Et puis… en refermant le tiroir, mon œil accrocha un morceau de plastique rouge qui était en parti recouvert par le gant de four dont je me sers hebdomadairement pour sortir mes (fameux) rôtis. Ce morceau de plastique, je le reconnus instantanément… Je soulevai délicatement la mitaine thermofuge pour découvrir la paire de lames biseautées qui était conjointement l’objet de ma convoitise et de ma sourde colère.
Je m’en voulais terriblement d’avoir injustement accusé celle que j’aime d’un amour profond et sincère mais je décidai instantanément de ne point m’excuser ni d’avouer ma méprise. Je préférais m’emmurer dans un sarcophage de mauvaise foi qui alla jusqu’à lui répondre, alors qu’elle s’enquerrait des résultats de mes recherches : “oui, je les ai ENFIN retrouvés !“. Je prononçais ces mots avec assez d’agacement pour qu’elle n’aille guère plus loin dans son questionnement. Elle l’aurait fait, j’aurais inventé quelque chose, raconté avoir retrouvé les ciseaux dans un endroit saugrenu plutôt que d’avouer mon erreur.
Ma punition fut terrible : j’ai foiré complètement mon plat et du coup j’ai ressorti mon appareil à raclette.

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Je suis rentré de tournage jeudi totalement exténué et les pieds en travaux, après 2 jours non stop de prises de vue en région parisienne et en Bretagne,. Il faut dire que je suis derrière et devant la caméra pour ce film corporate dont je vous ai déjà parlé ici et qui va m’emmener dans des endroits aussi exotiques que la Turquie, Orléans ou la Géorgie. Ce faisant, je dois être en costume impeccable et cravate quand je suis caressé par l’objectif Canon de la toute nouvelle caméra C300 Ultra HD que nous utilisons, mais sans possibilité de me changer quand je reprends ma casquette de réalisateur. Et j’ai commis l’erreur d’étrenner des chaussures neuves pour cette toute nouvelle production…
Comment vous dire ? Comment vous expliquer la torture que je me suis infligée durant ces  2 jours de tournage ? La station debout m’était difficile mais la déambulation face caméra pour exposer des choses compliquées et techniques avec le sourire, l’était encore plus. Alors que je débitais un texte auquel je ne comprenais rien, mon esprit se concentrait sur une chose : “pense au moment où tu vas enlever ces saloperies de chaussures à l’hôtel !“ J’imaginais mille stratagèmes pour arrêter le tournage et me reposer un peu et j’en venais même à envier les employés de l’usine dans laquelle nous tournions qui portaient tous d’immondes chaussures de sécurité. Malheureusement, elles n’auraient pas été coordonnées avec le costume dispendieux que je portais et elles auraient juré de vilaine façon avec le style anglais de ce dernier. Je souffris donc plus ou moins en silence, m’autorisant à la pause déjeuner de m’en extraire un bref instant afin de contempler les dégâts occasionnés à mes petons.
Figurez-vous que cet affligeant épisode de ma vie personnelle m’a permis de comprendre les nombreuses femmes qui se plaignent de marcher en talons aiguilles. Je compatis à leur calvaire séculaire et je dirais même que je les admire. Moi qui depuis toujours, abjure les femmes qui partagent quelques instants plus ou moins bref de mon existence, de porter de hauts talons, je comprends aujourd’hui quelle torture je leur infligeais par pure égoïsme. Un Guantanamo de la grolle, un Auschwitz de l’arpion, voilà ce à quoi je pense à l’heure où j’écris ces lignes, les parties inférieures trempant dans l’eau salée.
Dans le TGV qui me ramenait, en chaussettes, à Marseille j’ai songé à une chose terrible : durant tous les autres jours de tournage que je vais avoir pour terminer ce film, je devrai porter mes godillots tortionnaires afin d’être “raccord“ avec les images déjà tournées !
Si vous avez des chaussures orthopédiques pour pieds-bots, je suis preneur (tailles 42) à partir de fin octobre.

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Ça y est, aujourd’hui démarre pour moi un marathon professionnel où les tournages, les montages, les enregistrements et les projets vont s’enchainer pendant 6 semaines. Ce soir je dormirai à Paris, mardi soir près de Rennes, puis re-Paris avant de revenir à Marseille. Je fais ce petit tour de France pour aller collecter des images et jouer au journaliste pour un film corporate à diffusion mondiale… Et oui… ma bobine va se promener sur tous les continents pour représenter une société leader dans son domaine d’activité high tech (6000 employés, 11 usines, 50 bureaux dans le monde). Je serai doublé en espagnol, anglais et portugais (russe et chinois ?) et cela commence mardi matin à 8h00 au siège français de cette multinationale avec l’interview par mes soins de son représentant légal.
Pour ce même film, j’irai dans le courant du mois de Septembre à Orléans, puis j’irai tourner à l’aéroport Charles de Gaulle avant de m’y envoler avec toute mon équipe pour la Géorgie et 2 jours de tournage sur place en octobre encadrés par l’agence Firstcom qui gère ce nouveau client.
En rentrant sur Marseille, j’aurai la finalisation des montages des films que j’ai tourné début août pour une grande banque française et l’agence Marsatwork. La semaine prochaine, je vais également retravailler sur la troisième saison de mon émission pour LCM qui va connaitre un changement de taille : elle sera reprise sur TOUTES les box (Free, Orange, Bouygues, Numéricable, SFR) sur la même chaîne ! Et oui, cela fait des années que les actionnaires demandent l’attribution d’un numéro unique et facile et cela sera chose faite à la rentrée puisque LCM sera diffusée sur la chaîne 30.
Hormis cela, j’attends une confirmation pour un gros événement qui aura lieu en janvier 2015 et pour lequel je suis prévu comme maître de cérémonie. Voilà pour le moment les amis ! Et je ne vous parle même pas de ma vie privée qui, elle aussi, va connaître un train d’enfer…

Chose promise, chose due, voici le making of des spots tournés pour une grande banque dans le cadre d’une grosse opération de communication interne devant démarrer le 15 septembre.
C’est Jean-Philippe Lutin qui a réalisé ce petit clip qui me servira à me souvenir des bons moments que nous avons connus tous ensemble durant ce tournage sympathique mais éprouvant.

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L’autre jour, je souhaitais effectuer une commande sur le site internet d’une papeterie en ligne. Je choisis le site de Lyreco vu que je suis fidèle aux gens qui me font ou m’ont fait travailler, et je ne fus pas déçu : en effet, je découvris un portail très bien fait, accueillant, ergonomique, fort bien achalandé et je me suis dit, à tort, que j’allais prestement trouver mon bonheur.
Je cliquai sur le petit rectangle blanc jouxtant une loupe, censé satisfaire la moindre de mes requêtes. Une version moderne du génie qui peuple certaines lampes à huile dans les contes pour enfants. Malheureusement, pour que le petit rectangle blanc crache ses réponses, il faut le nourrir avec des questions à poser. Or, je fus alors confronté à une situation vierge de toute expérience personnelle : comment s’appelle l’objet que je recherche ? Je vous l’ai mis en photo pour illustrer ce brillant article et je vous mets au défi de m’en donner le nom.
Comment expliquer à mon petit rectangle blanc que je cherche “ça“. J’aimerais lui expliquer, lui faire un dessin, exécuter un mime pour qu’il comprenne l’objet de ma recherche, mon Graal à moi, mais mon rectangle blanc reste inflexible. Aussi sourd et aveugle qu’un policier municipal à qui on tente d’expliquer que l’on s’est garé en double file pour acheter une baguette de pain. Je tente alors le tout pour le tout et j’écris : “carton rigide pour pincer des feuilles A4 dedans“. On peut rêver. “Aucune réponse trouvée“ me balance aussi sec le quadrilatère immaculé. En une fraction de seconde, il m’envoie au sol comme le ferait le champion du monde de Full Contact opposé au champion de monde de Curling. Son “aucune réponse trouvée“, fleurait le mépris et ressemblait à quelque chose du style : “si tu ne sais pas ce que tu cherches, évite de me faire perdre du temps, j’ai pas que ça à faire, connard ! Tu sais le nombre de milliers de questions qu’on est en train de me poser en ce moment même ? Bon alors dégage et reviens quand tu sauras ce que tu cherches.“ C’est le sentiment que sa réponse, sèche et laconique, m’a laissé.
Je cédais à la dipsomanie en allant me servir un verre de vin rosé, espérant ainsi éclaircir mes idées. Alors que je fixais le curseur de ma souris clignoter dans le rectangle blanc, je me torturais le cerveau afin de trouver comment pouvait-on nommer ce produit dans la nomenclature de la papeterie française. Bloc ? Bloc à pince ? Pochette à pince ? Je me persuadais qu’il devait bien s’agir d’un “truc“ à pince mais comment l’expliquer de manière claire et intelligible à mon rectangle blanc ?
J’éprouvais à cet instant précis un profond moment de déréliction et je commençais à me demander si je n’aurais pas plus vite fait de fabriquer moi-même cet “objet qu’on sait pas comment qui s’appelle“. Avant d’en venir aux mains, je décidais d’appeler ma mère au téléphone. Maman est une sorte de rectangle blanc “vivant“ capable de trouver toute sorte de réponse à la manière d’une encyclopédie. A la différence du polygone de mon site, ma mère accepte les mimes, les descriptions orales hasardeuses ponctuées de “tu sais là… le truc rigide en carton, avec la pince en haut pour tenir des feuilles !? Hein ? Tu sais, hein ? Tu sais ?????“. Maman, qui ressemble plus à une boule qu’à un rectangle, géométriquement parlant, me répondit tout de suite “ah oui ! Le truc rigide qui tient des feuilles ?“. Mon cœur battait à s’en faire péter les ventricules. “Je vois bien ce que tu veux dire mais alors… comment ça s’appelle : aucune idée.“ Ça sentait le parricide à plein nez mais je réussis à contrôler ma déception et je remerciais malgré tout celle qui m’avait élevé confortablement après m’avoir donné la vie dans une maternité publique de la région parisienne. Ma mère ne connaissait pas la nomenclature en vigueur chez les papetiers et je ne pouvais lui en tenir rigueur. Retour à la case départ sans passer par la banque.
Je laissais passer un nycthémère (qui n’a rien à voir avec maman) et m’attelais dès le lendemain à trouver la réponse que mon rectangle de recherche s’obstinait à me demander. Après force tâtonnements, j’ai enfin découvert ce que je cherchais !
Vous savez comment cela s’appelle ? “Une plaque PVC porte bloc à pince A4“. Bien sûr, j’aurais du y penser…
Finalement je n’ai pas eu à le commander. J’ai retrouvé le mien dans une commode. Il avait glissé sous le… le truc, là, vous voyez de quoi je parle ?

Studio Fond Vert
Cette semaine, j’ai enregistré 6 spots pour une grande banque française qui souhaite communiquer auprès de ses salariés de métropole. C’est l’agence Marsatwork qui est à la production et Bibi qui a écrit et réalisé les spots qui seront diffusés à partir du 15 septembre prochain, à raison d’un clip par semaine.
Jeudi soir, après l’enregistrement du dernier clip, je suis rentré et je me suis couché direct tellement j’étais fatigué. La tache de bave que j’ai laissée sur mon oreiller peut en témoigner. Il faut dire que j’étais derrière et devant la caméra pour ce dossier et que, bien qu’épaulé par une bande de techniciens aux petits oignons, ce n’était pas du gâteau.
Ce qui était amusant dans les scénarios que j’ai écrit, c’est qu’il y avait un tas d’interactions avec des éléments qui seront rajoutés en post-production, sur le fond vert. Ainsi, dans un des scénarios, je converse avec 2 autres “Jeff“ qui seront à côté de moi. Cela a été très intéressant à jouer et j’ai hâte de voir le résultat final ! Pas vous malheureusement, parce que je n’aurai pas le droit de les diffuser mais je vous promets un making of dans pas longtemps.

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L’autre jour, j’ai reçu un appel téléphonique de Claude Luca, l’artiste peintre que j’avais reçu dans mon émission et avec qui j’ai senti que quelque chose passait. Je ne saurais vous dire quoi mais il y a des êtres humains qui peuplent cette Terre et avec qui on se connecte presque instantanément, sans en comprendre les raisons qui semblent nous dépasser.
J’ai récemment visité son atelier en charmante compagnie et au lieu de parler peinture, notre discussion s’est envolée vers des cimes étonnantes et mystiques. Il me racontait des morceaux de sa vie, je l’interrogeais sur ce qu’il ne disait pas et nous avons passé au final plus de 2 heures tous les 3 à parler principalement des beautés de la vie que cet homme a le don de débusquer où que son regard se pose. J’ai beaucoup appris de ce moment de partage avec celui qui effectue régulièrement les pèlerinages de Saint Jacques de Compostelle et de la Vierge Notre Dame de Fatima au Portugal, à pieds, à vélo et même à dos d’âne.
Mais je reviens à cet appel téléphonique que je n’attendais pas. Claude m’appelait pour m’annoncer qu’il était en train de peindre un tableau pour moi et ma compagne et il souhaitait avoir quelques précisions sur l’orthographe de nos prénoms… J’étais abasourdi et pour tout dire, très gêné (j’ai toujours eu du mal à recevoir) que Claude, peintre connu et reconnu jusque par delà nos frontières, ait choisi de nous faire un tel cadeau. Je me suis interrogé sur le pourquoi de ce geste mais j’ai préféré ne pas pousser plus loin d’inutiles interrogations qui n’ont pas lieu d’être quand on vous fait un cadeau.
Maintenant, j’attends le résultat avec impatience. Nous l’aurons à la fin du mois d’août et je m’interroge sur ce que nous aurons inspiré à l’artiste (qui déteste ce titre tant il est modeste). Je vous le montrerai ici.

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Je délaisse ce blog depuis trop longtemps pour ne pas venir me chapitrer devant vous. J’ai honte de moi. Qu’est-ce que c’est que ce merdier ?! Entends-je d’ici alors que j’écris ces quelques lignes pour tenter une justification aussi vaine qu’inutile. Ceux qui me conspuent et me couvrent d’acrimonie et de bile rageuse ont bien raison de se manifester bruyamment car l’auteur d’un blog qui se respecte, ne peut déserter son stylo en invoquant moultes prétextes spécieux qui seraient vus comme des coquecigrues de votre part.
Néanmoins, je vais tenter de me lancer dans un autodafé afin de me sortir du mauvais pas dans lequel je me suis embourbé, tel un hippopotame après la saison des pluies.
J’ai pas mal de travail et ma vie personnelle a connu quelques soubresauts qui m’ont éloigné durablement de ce journal numérique où j’aime conter mon quotidien achalandé et bigarré qui fait rêver des milliers de lecteurs embourbés (répétition voulue) dans des vies mornes, grises et bien souvent vides de sens. Et toc.
Donc j’ai du travail, disais-je avant de m’auto-interrompre de manière agreste. Le “gros“ film sur lequel je travaille depuis déjà quelques semaines a nécessité l’écriture d’un scénario précis avec un planning de tournage non moins détaillé. Il y a pas mal de témoins et d’experts à faire intervenir et nous allons parcourir la France, la Géorgie et l’Algérie à partir de la fin du mois d’août jusqu’à la fin du mois de septembre. Vous n’imaginez pas la complexité de ce tournage mais c’est passionnant et je travaille main dans la main avec l’agence Firstcom qui gère ce nouveau client international qu’ils viennent de signer. Nous n’avons donc pas le droit à l’erreur et la pression est énorme ! J’adore…
Parallèlement à cela, je travaille à l’écriture de spots pour une banque. Six spots seront tournés en studio début août à Marseille avec votre serviteur derrière et devant la caméra. Belle production avec l’agence Marsatwork avec qui je commence à avoir un bel historique. Les spots sont destinés à une diffusion interne nationale et je suis en pleine écriture ! Cela sera très amusant à tourner et j’espère, à regarder.
J’attends encore 2 réponses pour la fin du mois de septembre et le début de l’année 2015. Deux très beaux projets d’animation d’événements prestigieux (dont encore une banque !) pour lesquels j’espère une fin aussi heureuse.
Voilà donc la preuve que mon silence n’est pas du à une impéritie de ma part.

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Je pensais passer un été peinard, tranquille après 3 mois où j’ai enchaîné boulot sur boulot et puis le téléphone et la boîte mails n’ont pas arrêté de sonner et de se remplir. Des agences avec lesquelles je n’avais jamais collaborées jusqu’à présent me sollicitent pour des projets aussi différents les uns des autres mais avec un point commun : tout est pour la rentrée ! Mes vacances sont donc annulées et je me suis construit une digue au mois d’août de quelques jours afin de profiter de mes enfants. Adieu la tournée des lacs d’Italie en Harley Davidson, la découverte de l’Andalousie en auto-tour ou le circuit en Corse à moto…
Je travaille actuellement à la réalisation d’un film ambitieux (et très sérieux) pour une agence et son client, une multinationale leader dans son secteur d’activité. Un tournage à l’étranger est prévu pour la fin du mois et des prises de vues à l’aéroport Charles de Gaulle pour la fin août. Parallèlement à cela, je travaille avec une autre agence sur 8 spots web pour une banque à livrer en septembre. Tournage début d’août.
Une boite de production a également remporté un appel d’offres et j’étais inclus dans le projet créatif… tournage à caler… A la rentrée, j’anime les 20 ans d’une structure à Carpentras et je suis en négociation avec 4 autres agences pour des spots vidéos (comme comédien cette fois-ci) et 3 animations de gros événements (en septembre et janvier 2015) pour lesquels j’aurai des réponses d’ici 8 jours.
A la rentrée, je reprendrai également le bâton “d’Ils Font le Sud“, mon émission sur LCM dont tout le monde me parle et qui a su trouver sa place et son territoire de marque depuis 2 ans qu’elle est diffusée à l’antenne de la chaîne locale.
Voilà mes petits amis le programme estival… Bonnes vacances à vous !

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