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Jeudi, je serai au stade Allianz Arena de Nice pour animer une grosse opération pour le Groupe La Poste qui réunit tous ses top cadres à cette occasion. J’ai conçu cette soirée sous la forme d’un grand journal télévisé avec des reportages et des invités “en plateau“.
Grand écran, table en V rétroéclairée, caméras de télévision, jingle etc. Tout est prêt pour une soirée réussie ! J’ai bien évidemment réservé quelques surprises à mes invités, cadres dirigeants, direction générale, avec des photomontages, des images détournées qui viendront rythmer et faire sourire les 350 personnes attendues pour cet événement.
Après cette cérémonie studieuse, nous aurons droit à un méga cocktail dinatoire et à une soirée dansante avec DJ, Champagne et cotillons… Pas sûr que je m’éternise à la soirée mais je suis heureux d’avoir été choisi pour animer ce prestigieux événement.

462189545Ça y est, comme chaque année, les fêtes de Noël arrivent immuablement avec leur cortège de cadeaux à faire, de victuailles à entasser dans le frigo, de magasins dévalisés par des consommateurs affectés d’une fièvre de surconsommation chronique. Moins mortelle qu’Ebola, cette fièvre fait néanmoins des victimes qui font sourire les commerçants et pleurer les portefeuilles. Et le stress… Ce stress, cette angoisse qui monte, qui vous étreint à mesure que les jours défilent, compte à rebours immuable que rien ne peut arrêter et qui nous mène tout droit aux deux déflagrations que sont le 25 et le 31 décembre…
La première bombe explose généralement au pied du sapin avec des enfants surexcités depuis des jours, shootés aux pubs télé badigeonnent l’écran de jouets qui deviendront obsolètes 3 jours après leur découverte, camés aux chocolats de Noël, drogués aux calendriers de l’Avant chargés d’entretenir et de faire monter cette tension en distribuant chaque jour sa petite friandise (les calendriers de l’Avant religieux de mon enfance où, derrière chaque case, on découvrait une simple icône, ont rejoint depuis belle lurette, le magnétoscope VHS, Casimir et le Rubik’s Cube au cimetière des illusions perdues).
Une fois passé ce cap à côté duquel celui d’Horn ressemble à un pédiluve de bassin municipal, il faut vite recharger ses batteries (et vider son estomac) car la soirée du réveillon du jour de l’an arrive à grandes enjambées. Vite refaire des courses, recharger son frigo et trouver le déguisement idoine pour la soirée “Années 80“ à laquelle vous êtes conviée (avec participation aux frais. Cotillons, confettis et un quart de bouteille de Champagne par personne inclus). Et bien sûr, ce jour là, il vous sera interdit de faire la gueule sous prétexte de passer pour un triste sire “qui ne sait pas s’amuser“. Alors on boit. On s’enivre pour oublier que dès le lendemain commencera le long calvaire consistant à souhaiter à de parfaits inconnus “une bonne année et surtout la santé“. On prend des photos qu’on s’empressera de poster sur les réseaux sociaux pour montrer “qu’on s’éclate plus que vous“ et que vous auriez du enfiler un pantalon à pattes d’éléphant, une perruque de Michel Polnareff et chausser des lunettes géantes singeant Elton John.
On fait semblant de croire que l’année qui arrive sera meilleure que la précédente, que les palestiniens et les israéliens vont se mettre autour d’une table pour faire la paix. On se persuade que la fonte des glaciers va arrêter de faire monter le niveau des océans, que les saisons vont retrouver leur singularité et que l’été 2015 sera chaud et que l’hiver qui suivra sera froid. On veut croire que le chômage arrêtera de monter, que les américains cesseront de flinguer leurs enfants et que les “fous de dieu“ mettront fin à cette marotte consistant à se faire sauter dans les stades, car le foot est un sport de mécréants etc.
Bref, comme vous l’aurez compris, ces fêtes de fin d’année me mettent en joie et ravivent mon optimisme forcené. Ceci étant dit, j’adore le 1er janvier car il signifie la fin de cette comédie mercantile dont nous sommes les comédiens non rémunérés. Je me sens alors en haut d’une montagne d’où je contemple avec bienveillance l’année qui vient. Je l’imagine de manière résolument positive en me demandant quelles belles choses elle m’amènera et sur quels chemins elle guidera mes pas. Je n’ai jamais été déçu par les 1er janvier à part celui de l’année 2009 où s’est concentré un cortège de mauvaises nouvelles. Hormis ce jour de l’an, je n’ai jamais été déçu alors vous comprendrez pourquoi j’attends avec impatience ce 1er janvier 2015 !

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Je voudrais aujourd’hui m’entretenir avec vous d’un sujet qui me turlupine depuis des années. Quelles que soient les femmes que j’ai pu rencontrer au cours de ma vie, toutes souffraient de froid en permanence et aucune ne pouvaient s’empêcher de prendre des douches ou des bains à une température proche de celle de la lave en fusion.
Je sais qu’il existe un tas de scènes au cinéma où l’on voit un couple s’enlacer sous une douche déversant ses gouttelettes que l’on pourrait croire aphrodisiaques, tant elles transforment les corps sur lesquels elles roulent en marionnettes ridicules et incontrôlables. Caresses lascives, gouttes d’eau filmées en gros plan avec travelling avant pour les regarder glisser le long d’une cuisse imberbe et fuselée avant de s’égarer dans le creux d’une entre-cuisses à la clarté sépulcrale… Vous voyez le genre ? On l’a vu 100 fois sur grand écran. Ben c’est faux ! C’est du cinéma. Tentez l’expérience : prenez une douche avec une femme et vous constaterez que c’est rigoureusement impossible. J’ai moi-même essayé plusieurs fois et j’ai failli être ébouillanté à chacune de ces malheureuses expériences. N’ayant pas le destin d’un œuf à la coque, j’ai toujours feint d’y prendre du plaisir avant de quitter prestement, sous un fallacieux prétexte, la salle d’eau afin de me badigeonner généreusement le corps de Biafine. “Il faudrait qu’on le fasse plus souvent“ m’a dit une fois une ravissante créature engoncée dans un peignoir marron (qui fut le mien avant qu’une OPA inamicale m’en délestasse). “Tu vas bien ? Tu es tout rouge ?“ s’inquiéta-t-elle peu après en constatant que ma peau avait rougi comme si elle avait été frottée avec du papier de verre. Je fus tenté de lui répondre que c’était tout à fait normal et que, tel le homard, je m’empourprais au-delà de 80° Celsius. Je choisis la fuite et sortis, avec un talent de comédien que seuls les élèves du Cours Florent pourront apprécier : “je rougis devant ta beauté, mon amour.“ Elle m’embrassa, les yeux embués de larmes, saisie d’une émotion touchante et elle laissa glisser à une vitesse vertigineuse (rapport à la Biafine), sa main le long de mon échine.
Pourquoi les femmes ont tout le temps froid ? Pourquoi n’aiment-elles pas la climatisation l’été et ne se sentent bien que dans une pièce chauffée à 35 C° ? Je ne compte pas le nombre de fois où (lorsque j’étais quelqu’un d’important et que j’avais des employés au sein de mon entreprise), j’ai du jouer les arbitres entre, d’un côté des femmes en gilets et moonboots, grelotant de froid et de l’autre, des hommes en tee-shirts et tongs se plaignant que la clim n’était pas assez forte. Je vous jure qu’à côté de ce conflit, celui opposant les israéliens et les palestiniens fait figure de banale chamaillerie de cours de récréation.
Si vous avez une idée de réponse, ça m’intéresse car j’ai écrit ce texte sous le coup de la colère après que je faillisse m’ébouillanter au 2eme degré en prenant une douche où le curseur du mitigeur (j’ai une douche ultra moderne) était bloqué sur 50 C°. Je vous laisse, il faut que je change mes gazes.

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Je sais que vous êtes nombreux à penser que j’ai été rappelé par le Très Haut et que c’est la raison pour laquelle ce blog est aussi désert qu’un sauna mixte à Ryad. Non, je ne suis pas mort, j’ai juste eu beaucoup de travail ces derniers temps et je n’avais même pas le temps de venir vous parler de moi. Un comble pour un homme dont l’ego est inversement proportionnel à la cote de popularité de François Hollande.
Entre mes cours à Sciences Po (et la correction des copies de mes élèves le soir, devant un épisode de Joséphine Ange Gardien), mes émissions sur LCM, j’ai du répondre à quelques appels d’offre. Ainsi, j’ai été choisi par le groupe La Poste pour animer leur séminaire en décembre à Nice… au Stade Allianz Arena. C’est pas la classe ?
Avant cela, lundi prochain, j’ai été sollicité par la Chambre de Commerce et d’Industrie de Marseille pour jouer les maitres de cérémonie de la très officielle “remise du rapport d’évaluation de Marseille Capitale Européenne de la Culture“ au Palais de la Bourse en présence de Jacques Attali. J’ai toujours admiré le cerveau dont il est équipé et je serai dans mes petits souliers quand il s’agira pour moi de l’accueillir et de l’interviewer sur la scène dressée dans le Salon d’Honneur de la CCIMP qui portera bien son nom lundi prochain.
J’ai également travaillé la semaine passée pour HighCo sur une grosse consultation pour laquelle ils m’ont demandé de réaliser un micro-trottoir décalé… et il l’a été ! J’ai débarqué avec ma petite équipe dans un magasin situé à Vitrolles et on a fait l’événement 🙂 Il parait que le patron de la chaine de magasins (61 en France) a beaucoup ri en voyant la video et j’espère que c’est bon signe pour l’agence. Toujours pour HighCo, j’ai écrit les textes d’un petit film qu’ils ont réalisé et pour lequel j’ai également prêté ma voix. J’ai enregistré cela en studio avec mon compère Cyril Carillon et on s’est bien amusé car le but était de jouer le même texte avec des intonations et des styles différents. Il est amusant de constater la différence de sens que l’on peut obtenir avec le même texte en changeant quelques intonations et quelques expressions. On a eu du mal à garder notre sérieux mais les fous rires ont été coupés au montage final et HighCo était enchanté du résultat.
Je travaille également en ce moment avec l’agence Marsatwork sur un nouvel appel d’offres, et avec la société Corpo Events qui a été choisie pour organiser les 150 ans de la SMC pour qui je jouerai les maitres de cérémonie au mois de janvier prochain.
Alors, vous comprenez maintenant pourquoi je n’étais pas trop présent ces jours-ci ?

J’ai tourné cet été 6 spots pour l’agence Marsatwork et un de ses clients, un important groupe bancaire français. Les six spots étaient destinés à de la communication interne et c’est la raison pour laquelle je n’ai pas le droit de vous les montrer “finis“. Je peux juste affirmer que les spots ont beaucoup plu et je suis assez satisfait du résultat car la tâche n’était a priori pas facile. Il nous était demandé de faire passer des messages pour améliorer l’utilisation de la messagerie interne par les milliers de collaborateurs de cette banque… Tout cela de manière drôle et dynamique. Mission accomplie ! On m’a même reconnu à un guichet et félicité pour mon “œuvre“ !
Pour réussir ce difficile pari, je me suis entouré (comme d’habitude) des meilleurs : Vincent Evrard au cadre, Cyril Chauvin pour les lumières, JR pour le son, Sabrina pour le maquillage et surtout François Volfin pour tous les effets numériques et le motion design dont vous verrez quelques extraits sur la video du making off. A la production, Cécile Mennesson et Dorothée Delaporte de l’agence Marsatwork.
Nous sommes en train de réfléchir avec François à mon film des vœux 2015 et si le projet que nous avons en tête est réalisable, cela va être terrible…

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Samedi après-midi, j’ai emmené toute ma (grande) famille pour une séance de prise de vues avec mon photographe préféré Cyril Chauvin (celui qui a encore ses cheveux sur la gauche) dans un studio du centre ville. Qui prend la photo me direz-vous ? Ma fille tient l’appareil pour immortaliser cet instant.
P.S. : je me suis mis au régime juste après avoir reçu les photos.

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Oui je sais, cela est effrayant. A la lecture du titre de cet article, vous prenez acte de la chute du système éducatif français qui fut, il y a fort longtemps, un exemple pour le monde entier. Vous comprenez que l’Education Supérieure de notre pays est dans de sales draps et que c’est moi qui suis dans le lit avec elle. Vous n’avez pas tort et je comprends votre stupeur que je suis même allé jusqu’à partager lorsque j’ai été sollicité par cette noble institution suite aux recommandations d’un ami.
C’est la voix tremblante que j’ai accepté après avoir tenté , en vain, de dissuader mon interlocuteur que j’étais la personne idoine pour remplir cette mission éducative. Moi, prof… ? Qui plus est dans un des plus prestigieux lieux de savoir que la France détient ? L’Institut de Sciences Politiques ? Je vais devoir transmettre un savoir à des têtes déjà bien faites et fort bien pleines tout en leur donnant envie de se lancer dans le prestigieux domaine de la communication ? Et les examiner, les noter, les contrôler, de surcroit ? Ça va pas la tête !
J’ai dit oui. Ce n’est pas la rémunération proposée qui m’a incité à répondre affirmativement à l’invitation qui m’était lancée (rémunération qui me servira à couvrir mes frais en canettes de Coca Zéro) mais la curiosité de me confronter à des futurs décideurs. Il parait qu’ils sont tout excités à l’idée de m’avoir comme professeur alors que mon angoisse inflationne à  mesure que la date approche. Je passe mes journées à travailler mon cours et noter noir sur blanc mon expérience ainsi que les connaissances acquises dans le métier de la communication depuis bientôt 20 ans…
J’essaye de me mettre à la place des étudiants que je vais avoir face à moi en me remémorant mes ennuyeux cours de marketing de Sup de Co dispensés par un professeur terne aux cheveux gras, qui n’avait jamais mis les pieds dans une entreprise de sa vie et qui ânonnait le Mercator (célèbre livre de référence dans le domaine du marketing, l’équivalent d’un Vidal pour le médecin) d’une voix morne et déprimante. Il fallait vraiment que je sois motivé par le domaine de la communication pour avoir survécu aux cours de ce Monsieur qui en poussa plus d’un dans la finance.
Je vais tout faire pour rendre attractif mon cours, le rendre vivant en le truffant d’expériences. Je veux avoir une approche théâtrale de ce cours que l’on me confie en travaillant autant la mise en scène que le texte.
Nous verrons bien ce que cela donnera… Je serai jugé moi aussi et j’espère que j’obtiendrai la moyenne.

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On m’a demandé d’apporter un peu de légèreté à cet événement afin que le personnel convié ne voit pas trop le temps passer. Mission accomplie d’après les nombreux échos que j’ai entendus à la fin de ces 2 jours où j’ai distillé mon sens de l’humour entre les tables rondes, les discours et les interviews des big boss de l’entreprise. 1 mois de préparation avec l’agence de communication, de réunions avec le directeur de la communication, de conférences téléphoniques avec tous les intervenants ont été nécessaires pour comprendre le métier et les enjeux d’ERDF et produire un conducteur qui tienne la route. Gardien du temps, j’ai conclu le dernier jour avec… 2 minutes d’avance sur l’heure prévue.
J’adore animer ce type d’événement car on a des sensations proches de ce que l’on éprouve au théâtre même si l’on doit mettre son talent au service d’une entreprise, de son image. Il faut trouver le bon ton, le bon curseur, improviser, réagir à 200 à l’heure, savoir ne pas franchir la ligne blanche et ne pas confondre le métier de maitre de cérémonie avec celui de comédien de one man show. Rester à sa place tout en marquant l’événement de sa présence.
Prochain événement pour moi ? Dans 2 mois, à Carpentras, les 15 ans d’une grosse structure… mais là, je serai accompagné de Virginie Grandval et Carlo Casaccia qui joue à mes côtés dans Temps Mort que nous allons rejouer à Monaco au mois de juin prochain.

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Vendredi 19 septembre, j’ai réalisé un spot pour le groupe High Co. Encore des lumières artificielles et un fond vert dans lequel il faut se projeter. Je ne compte plus les tournages que j’ai fait sur fond vert mais j’aimerais bien sortir un peu !
Cyril, mon compère photographe, a été embauché pour s’occuper des lumières, Vincent était derrière son GH4 qui permet de filmer en très haute définition, Smahane maquillait, Jean-René sonorisait tout ça et j’avais à ma disposition de “faux comédiens“ mais vrais témoins qui devaient déclamer sur tous les tons des phrases et slogans en rapport avec la marque finale pour laquelle nous réalisions ce spot. Le plus dur consista à les faire jouer… Ils n’avaient évidemment pas l’habitude d’être face à un objectif inquisiteur et des éclairages éblouissants pendant qu’un aréopage de techniciens et un réalisateur pointilleux leur demandaient d’effectuer 1000 choses : “plus près, “recule toi un peu“, “parle un poil plus fort“, “souris“, “attends… on va faire un raccord maquillage“, “ne me regarde pas, regarde l’objectif“, “on recommence, tu as bafouillé“, “essaye de moduler ta voix“…
C’est Patchwork Prod, la société de François Volfin qui produisait ce film rapidement mis en boîte puisqu’en début d’après midi, tout était fini. Du coup, il a invité tout le monde à déjeuner !

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Je fais partie des rares privilégiés qui ont eu la chance de visiter le chantier du Hard Rock Café à la fin d’un tournage en studio pour l’agence High Co. A la fin de celui-ci qui s’était déroulé tranquillement et sans aucun accroc, l’un des acteurs nous proposa de visiter le chantier qui était à quelques pas du studio. Stuppeur au sein de l’équipe de tournage qui resta dubitatif devant cette invitation surprenante et généreuse. Le chantier est un des plus grands secrets de la ville car la direction du Hard Rock veut créer la surprise quand le plus grand restaurant d’Europe de la marque ouvrira ses portes en décembre prochain.
Il s’avérera que l’invitation était tout à fait sérieuse puisque le très sympathique jeune homme (Cédric, en gris sur la photo) était le fils du proprio ! Casques vissés sur la tête et gilets jaunes sur le dos, nous avons effectué une visite complète avec le directeur marketing qui, comble du hasard, était une personne avec qui j’ai travaillé il y a quelques années de cela quand je bossais en agence. Heureusement pour moi, il avait gardé un bon souvenir de notre collaboration et on envisage même une émission spéciale enregistrée à l’intérieur du restaurant pour LCM.
Je ne peux rien vous dire puisqu’on nous a demandé de garder le secret mais cela va être top et même… très émouvant par certains côtés.
Et oui, c’est cela d’être un VIP, que voulez-vous…

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