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Les pires films au monde


Ce film est une bulle d’Art dans un océan de médiocrité. On retrouve ici les ancêtres des “Power Rangers“ dans de seyantes tenues mauves et rouges. Admirez la synchronisation des doublages des 2 comédiens et la chorégraphie des combats signée Kamel Ouali. Dans les rôles principaux, vous serez surpris de retrouver Patrick Simpson Jones, l’ancien speaker d’Antenne 2. Il s’était essayé (sans succès) au cinéma et il n’a pas persévéré. Dommage, j’aurais aimé regarder “The Ninja Squad 2“. Ce film raconte l’histoire d’un artisan fabricant de mobiles à vent. Alors qu’il effectue un contrôle qualité sur son dernier prototype, un homme arrive de nul part pour le faire chier. Disons les choses comme elles sont. C’est en fait un client mécontent qui demande à se faire rembourser d’un mobile à vent acheté à l’artisan. Ce dernier lui explique qu’il est hors garantie et lui propose une réduction de 5% sur tout le magasin. Patrick Simpson Jones refuse le marché et décide d’engager le combat…


Attention chef d’œuvre ! Encore une production asiatique à l’odeur d’huile rance. Ici, vous reconnaîtrez Alain Chabat (l’homme à la moustache et aux Ray-Ban) dans un rôle secondaire ainsi que Michou qui s’essayait au cinéma dans un rôle de dur. Ce film réalisé par le coréen Nem Ocrevettes raconte l’histoire de 2 pédo-psychiatres aux prises avec le terrible Wong Chang, un producteur de dessins animés à la violence régulièrement dénoncée par les associations de parents d’élèves. Alors qu’ils se promènent au volant d’un pickup dans la campagne coréenne, ils sont pris à parti par 2 hommes à l’allure patibulaire. Ce sont 2 dessinateurs travaillant pour Wong Chang et qui ne sont pas contents du tout de la réputation qu’on leur fait. Ils décident de se battre en duel. Admirez la chorégraphie et écoutez bien la bande son : les coups pleuvent sans qu’ils ne se touchent ! C’est sans doute cela que l’on appelle la magie du cinéma.

 
Merci qui ? Qui a encore trouvé un film d’anthologie ? C’est bibi ! “Russian Ninja“ est un film du grand Theodore Von Kliegge plus connu sous le nom de Michel Poireau. Theodore Von Kliegge est l’auteur de “Chinese Ninja“, “Brasilian Ninja“ et “Belgium Ninja“ (qui est son seul film comique). Vous reconnaîtrez dans ce film d’action et de sentiments, Georges Moustaki qui n’avait pas souhaité communiquer à la sortie du film en K7 video, sur ce rôle de méchant, bien loin de l’image que le poète véhicule. “Russian Ninja“ raconte l’histoire d’un Ninja russe, donc. Il n’est pas content et l’intérêt du film réside dans le fait qu’on ne sache pas pourquoi. Il s’habit de noir car cela l’amincit et il pète la tête à tous ceux qui ont des cheveux blancs. Après avoir écumé tous les hospices de Moscou, il pénètre dans l’appartement de Georges Moustaki où un violent combat s’engage pour la survie de l’Humanité (il s’agit du journal. L’action se passe en Russie, je vous le rappelle, mais essayez de suivre un peu). La scène que j’ai sélectionnée pour vous se passe à la fin du film mais je ne vous en dirai pas plus afin que ceux qui voudraient l’acheter dans une brocante, puissent en profiter pleinement.



Ce film, un des préférés de notre ami jaune citron, vaut surtout par la qualité de ses dialogues. Les phrases de ce dialogue sont fleuries et possèdent une indéniable poésie qui ne sont pas sans rappeler le regretté Michel Audiard. Le dialoguiste de “Hitman Cobra 2“, un dénommé Nicholas Chabertt, a notamment participé à l’écriture de plusieurs sketches pour Jean-Marie Bigard. Vous reconnaîtrez Xavier Couture dans le rôle de “Philipp“, Benicio del Toro dans son tout premier rôle et Sören Prévost qui joue le rôle du méchant qui inspirera plus tard le personnage de la pub “118/218“. A voir et à revoir. Merci au Niaquoué pour sa contribution.


Je sais qu’en choisissant ce film, je fais plaisir à mon pote Niaquoué, grand amateur du cinéma d’auteur. Chuck Norris est l’un des plus grands comédiens de sa génération dont je vous laisse découvrir la finesse du jeu. Même ses silences ont du talent ! Quant aux textes et aux dialogues, ils ont été ciselés par un orfèvre.

Film de Peter MacDonald sorti le 16 octobre 1988. Scénario : David Morell, Sylvester Stallone, Sheldon Lettich (ils se sont mis à trois pour écrire ça…). Avec : Sylvester Stallone, Richard Crenna, Marc de Jonge.
Encore un des films de chevet (façon de parler puisque les chinois n’en possèdent pas vu qu’ils dorment sur des paillassons appelés “futons“… ils peuvent rien faire comme tout le monde…) de mon ami Niaquoué. Dans ce chef d’œuvre, il a été difficile de trouver une scène avec des dialogues. Dans l’extrait que vous allez visionner, vous verrez un John Rambo qui vient de sauver son ami “le Colonel“ d’une mort certaine puisqu’il était détenu par des soviétiques (mais si souvenez-vous ! Ces gens qui buvaient le sang des enfants et qui vivaient dans un pays appelé URSS avant qu’il n’y ait des Mac Donald sur la Place Rouge). Sitôt échappés, John et le Colonel courent dans le désert Afghan (pays qui était occupé par les soviétiques avant d’être occupés maintenant par les américains. L’Afghan, bien que fier, est très peu autonome mais ceci est une autre histoire…). Ils courent vite mais malheureusement, ils se retrouvent face à la moitié des forces armées déployées par la pourriture communiste dans ce beau pays d’Asie centrale, bien connu des femmes branchées pour ces chatoyantes burka. Que faire ? Se rendre ? Autant demander à Lara Fabian de chanter moins fort ou à l’Olympique de Marseille de gagner la Ligue des Champions… Non, John va avoir ce trait d’esprit qui lui a provoqué une luxation du cerveau : “ça va être dur de les encercler.“ Et il va ratatiner à lui tout seul l’armée soviétique… Merci Niaquoué pour cette contribution.

Vous ne rêvez pas : j’ai bel et bien décidé de créer une nouvelle rubrique en l’honneur de l’un des membres les plus éminents de ce blog, Jean-Pierre, alias le Niaquoué, alias le Jaune, alias le Connard Laqué. Pour les chanceux qui ne sauraient pas encore qui est “Jean-Pierre/Niaquoué“, prière de taper ce nom dans la case “rechercher“ située en haut de cette page. Ils découvriront alors qui est ce personnage pour moi (cette page est déconseillée aux jeunes enfants, aux femmes enceintes et aux porteurs de pace-maker). Pour ceux qui auraient été affranchis et pour les fidèles de ce blog, vous saurez que Niaquoué et moi (et nous, car je ne suis pas seul dans ce combat ; mon ami Azzo m’épaule courageusement dans cette tâche) ne partageons pas les mêmes goûts en matière de pellicules cinématographiques. Loin de là. Il critiques les chefs d’œuvre dont je distille le nectar sur mon blog, n’hésitant pas à insulter les mémoires de Charles Chaplin, Jean Gabin et autre Michel Galabru. Nous avons essayé d’ouvrir le tabernacle de bêtise qui recouvre son cerveau malade, contaminé par le cinéma “made in Hong-Kong“ ou pire, “made in Hollywood“, mais nous avons perdu cette bataille. Je m’avoue vaincu et j’ai décidé de déposer les armes. Mieux que cela : j’ai décidé de vous laisser juge. Quel cinéma aimez-vous ? J’espère que le Niaquoué admirera l’élégance de mon geste et mesurera, à sa juste valeur, la profondeur de mon âme.
Pour déflorer cette rubrique, j’ai choisi un film que le Formosan place au sommet de sa dévédéthèque : “King Boxer“.
Un film de Kung Min sorti en 1971. Scénario : il n’y en a pas. Comédiens : Lee Lin Lin, Chauatieng Pau Chao.
Propriétaire d’un gymnase en Chine, Tchang se rend en Thaïlande pour rencontrer un boxeur du nom de Chi Taï Chan (dont la ressemblance avec le Niaquoué est frappante). Après quelques rounds d’obversation, Tchang décide de parfaire l’éducation du jeune combattant en lui inculquant certaines techniques secrètes…
Admirez la qualité de la photo, les zooms délicats, les cadrages originaux dont se sont inspirés les plus grands réalisateurs (Scorsese a tout piqué à Kung Min, quant à JP Melville, il ne s’est jamais caché de s’être largement inspiré du réalisateur chinois). Les acteurs jouent “juste“ et les doublages réalisées par des comédiens de la Cotorep sont parfaits. A voir et à revoir.

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