Ma vie mouvementée

Ce n’est pas moi sur ce cliché pris à Madrid le week-end dernier. Alors que j’étais en convention avec l’Agence Firstcom dans la capitale Espagnole, je suis tombé Place Mayor sur Spiderman qui semblait un peu perdu au milieu d’une foule de touristes (note de l’auteur : le cinéma amincit drôlement).
J’ai une vie de dingue en ce moment et au lieu d’être à 100% de mes capacités intellectuelles, je traîne angines et rhumes depuis 3 bonnes semaines sans avoir le temps de consulter mon médecin, le sympathique Docteur Job. Il va falloir que j’y pense avant d’être incinéré et dispersé au dessus de la décharge d’Entressen.
Ce week-end, donc, c’était Madrid, le jeudi d’avant, c’était un tournage à Cannes et lundi à Oppède-le-Vieux dans le Lubéron. Je précise que l’avion nous ramenant à Marseille a eu 3 heures de retard et que nous sommes arrivés à 2h30 du matin. Réveil à 7h00 pour partir avec mes acolytes de France 3… dur dur.
J’ai également eu un rendez-vous très intéressant avec le leader français de la carte électronique qui m’a consulté pour concevoir 4 spots pour les fêtes de fin d’année. Réponse dans la semaine. J’ai aussi répondu à un appel d’offres avec Domino Studio pour la ville de Narbonne (un spot sur la propreté). Parallèlement, à tout ça, je prépare les prochains tournages pour France 3 et je cale les tournages de “Délit d’Initié“ sur LCM. On rajoute un film de 3′ pour un gros client de l’agence Firstcom que je vais tourner la semaine prochaine avec mon ami Cyril Chauvin + l’écriture d’un one woman show pour une artiste dans laquelle je crois beaucoup et vous aurez une idée de mes journées (et de mes nuits).
Mais ne vous trompez pas : j’aime cette vie. Je me sens un peu débordé en ce moment car plein de choses arrivent en même temps mais je gère. Une coach m’y aide. Oui, une coach… J’étais le dernier à croire dans cette profession de charlatan mais je dois reconnaître que je m’étais mis le doigt dans l’œil jusqu’à l’aisselle. Je vous parlerai d’elle un jour, c’est encore un peu frais mais Dieu qu’elle me fait du bien (je précise aux esprits mal placés que, malgré le fait qu’elle soit ravissante et séduisante, notre relation n’est QUE professionnelle).