11 Responses
  1. jeff

    Il est vrai que si la planète va si mal, c’est à cause des Niaquoués qui sont comme le soja dans une salade Thaï. On a beau en fourchetter tout ce qu’on peut, il en reste toujours autant dans le plat. 1 milliard qui sont, à bouffer nos réserves naturelles, à boire de la bile d’ours, à bâfrer les derniers requins et les dernières baleines au monde, à s’empiffrer de pines d’ours et de cornes de rhinocéros pour être plus virils… Je te foutrais tout ça au feu…

  2. Niaquoue

    On s’en fout des tortues, des ours, des huitres, des baleines, des crapauds, des pandas, des lions, des tigres, des cafards, des sauterelles, de Jose Bove…etc
    On va tous les bouffer sauf Jose, Jose on va le nourrir avec du mais transgenique par les 2 bouts.

  3. Niaquoué, tu es un révolutionnaire à ta manière : Mangeons le monde pour mieux le transformer! Mais une question subsiste : Pourquoi tout faire frire ? N’y a t il pas d’autres moyens de cuisiner plus digestes ? En plus ça fait péter… A bon entendeur….

  4. jeff

    Alors là, je suis bien d’accord avec Monsieur Azzo. L’huile ferait-il office d’eau bénite ? Peut-être est-ce une façon à eux de purifier leur nourriture ? Ceci dit, il leur arrive de manger aussi certains aliments à la vapeur… à la vapeur dégagée par leurs corps humides de transpiration dans la chaleur moite de leur climat de merde. Là-bas, tu te lèves le matin, tu transpires déjà. Tu prends une douche mais même-là, tu transpires ! Tu transpires sous la douche ! Faut le faire, non ? Ils vont être beaux les JO ! Imaginez l’épreuve du marathon…

  5. Je ne vois qu’une solution mon bon Jeff pour régler le problème épineux de ce pays inutile au climat moite qui pond chaque seconde des centaines de milliers d’imposteurs en tongs et en pagne qui n’ont que deux idées en tête vendre des « fakes » et faire frire tout ce qui bouge : ATOMISONS ! BORDEL ! ATOMISONS !

  6. jeff

    Roger ! Bien reçu, copy ! Cap à l’est sur 27e parallèle, rendez-vous au point zéro à 21h02 GMT, copy ! En formation de combat : on largue les Nukes à mon commandement. S’il vous reste du pétrole, on s’amuse à balancer des roquettes pour finir le travail et finir d’éplucher les citrons. Attention à l’huile de friture qui brouille les appareils de navigation, Roger !

  7. jeff

    Bordel… ces brouillages… je viens d’être pris dans un nuage de graisse chaude… copy ? Je perds de l’altitude… je décroche… mayday ! mayday ! Forte odeur de poissons pourris dans le cockpit… ahhhh !!!!!!! Je chute ! Dernière position 56° Sud, 43° Est ! Je vais essayer de me poser dans une rizière… je passe entre 2 buffles… toujours cette odeur âcre !!!!

  8. « Pendant la seconde guerre mondiale, le commandant des Marines Jeff Papy Bowington-Carias, était à la tête d’une escadrille de pilotes de chasse. Celle-ci était composées de marginaux et d’aventuriers qui devinrent les terreurs du Pacifique sud. On les appelaient… Les têtes brûlées. »
    Episode 12548 « Les têtes brûlés font frire Niaquoué pour Thank’s giving. »
    Vella la Cava 1942…

  9. bob

    chers amis je viens de découvrir ce blog qui est ma foi d’une facture correcte… les images, volées sur d’ autres blog plus créatifs, sont toujours très agréables a revoir…un emprunt peut etre plus qu’un vole que je puis tolérer, tout a fait conscient que la créativité n’est a la porté que d’une infime élite et que je le reste de la masse est donc obligé, pour tenter de se hisser vers la base des sommets, de copier…mais enfin je n’en tiendrais pas rigueur au gérant de ce blog ( puisqu’on ne peut pas parler, vous en conviendrez d’auteur) qui semble être quelqu’un de méthodique et d’appliqué qui s’astreint à alimenter son blog quotidiennement… en revanche je ne puis tolérer les flateries narcissiques laisser régulièrement par Gilles Azzopardi, ce triste auteur de ridicules pantalonnades, rédigées dans un galimatias indigeste et puant de prétention, ne connaissant qu’un piètre succès auprès de la frange la plus décérébrée de notre population, nourrissant ainsi les bas fonds de notre civilisation d’opus pseudo burlesques reposant sur de pitoyables blagues déjà obsolètes avant même que cet être sans saveur n’ait avancé un de ses petits doigts boudinés vers son clavier pour en commencé la rédaction… a bon entendeur…

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