La tête hors de l'eau

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J’ai l’impression de sortir d’un long tunnel et c’est un vrai plaisir que de vous retrouver. Ces dernières semaines ont été éprouvantes en terme de charge de travail et d’émotion mais le résultat est plus que satisfaisant. “Temps Mort“, ma pièce de théâtre, a connu un nouveau succès à Monaco avec une salle qui débordait de spectateurs (on a du rajouter des chaises dans les allées du théâtre des Muses), les nouveaux films pour la Caisse d’Epargne promettent d’être réussis et mes deux gros événements de la semaine passée se sont déroulés on ne peut mieux.
Mercredi 24 juin, c’était les 15 ans du Groupe Maranatha au Palais du Pharo que j’ai organisé avec l’agence Anita Vegas. Je n’étais jamais allé aussi loin dans l’événementiel car d’ordinaire, ma tâche se limite à l’animation. Cette fois-ci, le travail demandé fut plus ardu car j’ai véritablement co-organisé avec l’agence la soirée qui réunissait 360 cadres du groupe hôtelier. Je me suis occupé de toute la partie technique (son et lumière) ainsi que de la conception de la soirée avec la réalisation de petits films décalés. Un boulot dantesque mais la découverte d’une sympathique agence à taille humaine dirigée d’une main de fer par Catherine Droux.
Le lendemain, je filais à Pertuis pour animer les 25 ans d’HighCo sous un chapiteau qui regroupait 450 salariés du groupe de communication coté en Bourse. Ce fut, là aussi, un succès et je me suis régalé sur la scène avec les différents intervenants et les videos des patrons de division que j’avais détournées grâce au talent de Cyrille Carillon du studio Domino.
Je me suis réveillé vendredi avec des courbatures de fatigue mais avec le sentiment du devoir accompli.
Dans quelques heures, je vais rejoindre le plateau de tournage de la société Novasud afin d’y tourner sous la direction de Philippe Musso, le réalisateur, le premier spot de publicité pour la communauté urbaine de Marseille (MPM). Il y en a 4 au total et je vais être occupé tous les jours de cette semaine à les mettre en boîte. Cette fois-ci, mon rôle se limite à celui de comédien et c’est bien agréable de n’avoir pas d’autre responsabilité. On arrive, on se fait maquiller, on répète, on tourne 5 ou 6 fois les scènes, on mange et on rentre chez soi. Il y a pire comme métier, non ?

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